Les parties civiles s’inquiètent de blocages dans l’enquête française sur l’attentat contre l’avion du président rwandais Juvenal Habyarimana en 1994, notamment après le meurtre à Johannesburg d’un ancien chef des services secrets rwandais que les enquêteurs voulaient entendre comme témoin.
L’attentat du 6 avril 1994, au cours duquel fut tué le président hutu, est considéré comme l’événement déclencheur du génocide rwandais, qui a fait au moins 800.000 morts, essentiellement de la minorité tutsi. LIRE L’ARTICLE