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AG de la BAD: Kaberuka rate sa dernière sortie

 

 La réunion de quelque 3 500 personnes venues participer à la traditionnelle assemblée annuelle de la Banque africaine de développement, du 19 au 23 mai 2014 à Kigali, au Rwanda, tenait bien avant l’heure les cartes pour finir en beauté. Mais subitement, coup de théâtre ! La quarantaine de journalistes accrédités pour les besoins de l’événement ont vécu à la veille et durant toute la conférence les petites et grandes misères et les humeurs désagréables du staff de communication dirigé par Joël Kibazo assisté de quelques-uns de ses collaborateurs aux mains inexpertes. Retour sur un fiasco, un impair à corriger vite et qui ne polit guère l’image de la première institution financière panafricaine !

 

Mauvais casting ou tête de chéquier du service Com de la BAD! Ce qui était annoncé et attendu comme un franc succès fut à la fois un ballon de baudruche et un réel bizutage de premier degré ! Hélas, l’âge d’or de la Banque africaine de développement, qui fête ses 50 ans cette année, peine allègrement à briller de mille étincelles. La grande fausse note de ce cérémonial de convives, placé sous haute sécurité policière et militaire et parti pour battre le record de mobilisation, parmi tant d’autres (que nous énumérons plus tard dans nos prochaines éditions), incombe au seul préposé de service de communication de la BAD dépêché à Kigali. La gestion de la communication et le RP (Relation publique) envers la quarantaine de journalistes, qui ont fait le déplacement dont les 2/3 viennent de l’Afrique anglophone, a été des plus médiocres et des plus insipides que l’institution ait connues. Le nouveau “Monsieur Com” de la BAD, Joël Kibazo, et ses collaborateurs immédiats aux traits anticonformistes, dont le très débonnaire Britannique John Philippe, et qui avaient du mal à s’acclimater de la culture africaine surtout sur une terre généreuse sociologiquement parlant comme le Rwanda, ont livré leurs maladresses et étalé leur incompétence sur la place de la conférence de Kigali. LIRE LA SUITE

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