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GÉNOCIDE DE BENI s’arrêtera lorsque tout le monde comprendra que c’est Kagame qui est derrière ces atrocités.

GÉNOCIDE DE BENI : Le génocide de Beni s’arrêtera lorsque tout le monde comprendra que c’est le Rwanda de Kagame qui est derrière ces atrocités. Les tueurs de Beni ne sont pas des ADF mais des Rwandais.

Le premier groupe de ces Rwandais sont des militaires rwandais versés dans les rangs des FARDC en application des accords de Goma du 23 mars 2009 (accords négociés et signés par Raymond Tshibanda, un des prototypes des inconscients congolais prêts à livrer la population congolaise à la mort en échange de postes et d’argent).

Ces militaires rwandais ont été ensuite envoyés en masse en territoire de Beni, bien entendu sous uniformes FARDC. Même Bosco Ntaganda fut envoyé à Beni. Le second groupe de tueurs rwandais est formé des fameux “migrants rwandais”. Ils arrivent à Beni par la route, à bord des véhicules marque Fuso sous la protection de leurs frères rwandais des FARDC.

L’objectif derrière le génocide de Beni est d’encercler les Nande considérés comme le principal obstacle au projet de balkanisation. En positionnant ses forces en territoire de Beni, au nord du territoire nande de Lubero, le Rwanda aura le contrôle des routes commerciales reliant les hommes d’affaires nande à Bunia (Province d’Ituri) et à Kasindi (route d’importation et d’exportation reliant Butembo à l’Océan indien).

Ce qui lui permettrait d’étouffer les Nande économiquement tout en continuant de les tuer jour après jour. Une fois les Nande écrasés, la balkanisation devra s’imposer sans aucune entrave majeure. Ceux qui ne veulent pas voir cette réalité en face, je leur laisse le temps. Je dis cette vérité depuis 2014. J’ai été contesté au début, mais un grand nombre de mes contestataires sont en train de rallier ma position.

Encore un peu de temps et tout le monde va finir par admettre la vérité derrière ce génocide… juste un peu de temps encore. Tout ce dont je rêve est qu’il aura survécu assez de patriotes congolais pour prendre les armes et chasser ces génocidaires.
En image : le massacre de Boikene du 21 octobre 2018.

Par Musavili Boniface

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