Entretien avec Portia Karegeya sur la mort de son père Patrick Karegeya (Google Translate)
Par : Jennifer Fierberg
Dans le sillage de l’extrême tragédie est un rarement en mesure d’exprimer leurs émotions permettent de répondre à des questions uniquement sur la perte qui a déchiré par leur famille . Patrick Karegeya , ancien chef espion de la tête pour le président Paul Kagame et membre fondateur du groupe de l’opposition rwandaise du Congrès national Rwanda a été retrouvée étranglée dans une chambre d’hôtel en Afrique du Sud sur le Jour de l’An 2014. Un lien de retour des rideaux de l’hôtel et une serviette sanglante ont été trouvés dans l’hôtel en toute sécurité . Son assassiner est toujours sous enquête par la police sud-africaine et de la famille stipule que la police ont fait des progrès pour résoudre l’affaire . C’est une manière compliquée parce que l’ami intime de Karegeya et camarade politique aussi face à une situation similaire, mais ont survécu à la tentative sur sa vie et son cas reste devant le tribunal .
Portia Karegeya , fille unique de Patrick Karegeya , a accepté de s’asseoir à une entrevue avec l’auteur au sujet de son père , et la façon dont la famille est face à cette perte dévastatrice . Mlle Karegeya est une jeune femme très intelligente qui est très instruite et bien parlé . Cette interview n’a pas été facile pour elle en raison de l’objet mais elle a accepté de lui et a déclaré qu’elle a trouvé le processus cathartique . Sa mère a également lu et approuvé par de la version finale .
JF : Tout d’abord, permettez- moi s’il vous plaît d’exprimer mes plus sincères condoléances à vous et votre famille pour la perte tragique de votre père . Sa mort touché tant de gens dans le monde entier et il nous manque énormément . Où étiez- vous quand vous avez entendu parler de la assassiner de votre père et qui vous contacté ?
PK : j’étais à Montréal dans mon appartement . J’ai appelé mon cousin à environ 13h35 / 45 parce qu’il avait commencé un groupe de discussion avec l’application WhatsApp avec tous les membres de la famille , sauf mon père et il a été intitulé « perte . ” Je pense qu’il essayait juste de nous dire tout à la même temps, mais je n’ai pas attendu , j’ai immédiatement téléphoné et l’ont forcé à dire les mots. Donc, pour répondre à votre question technique ne m’a contacté , j’ai appelé mon cousin .
JF : À quand remonte votre dernier contact avec votre père et , si vous le souhaitez , ce que vous avez parlé ?
PK : Mon dernier contact avec lui était le 30 Décembre à 15:35 et l’appel a duré exactement 18 minutes et 42 secondes , je le sais parce que Skype conserve les journaux d’appels très spécifiques . Nous avons parlé de tout et de rien . Nous avons ri à propos de mini- jupe interdiction en Ouganda et l’ ironie de Schumacher étant dans le coma à cause d’un accident de ski de toutes choses . Puis nous avons fait de grands projets pour 2014. En fait, nous dit , cette année sera l’année de la Karegeya de et que nous serions réunis à nouveau à un certain moment et il a dit qu’il allait travailler dur et j’ai dit que je recevrais un bon travail et notre objectif était d’être là pour mon diplôme d’études secondaires de frère Richard . En outre, et rétrospectivement assez agaçant , je lui avais demandé ce qu’il avait été à la hauteur et il a dit qu’il venait de dîner avec un homme de Kigali , que je connais maintenant était Apollo Kirisisi . J’ai fait une blague en kinyarwanda demandant: « Vous avez vraiment encore faire confiance à ces gars ” qui signifie Rwandais aléatoires en général et il a juste dit , ” argh … je sais … mais parfois vous devez . ” Je souhaite vraiment qu’il n’avait pas , mais c’est qui il était , si vous étiez son ami qui était , il n’a pas contesté jusqu’à ce que donné une raison de le faire . Il est regrettable que la raison de ne pas faire confiance à ce gars est venu sous la forme d’ assassiner .
JF : Perdre votre père à un si jeune âge , ou n’importe quel âge , est horrible. Qu’est-ce que vous obtient par vos heures les plus sombres ?
PK : En un mot – gratitude . J’aurais presque pu inventer un mot nouveau , un nouvel adjectif qui pourrait en quelque sorte décrire la profondeur et l’amour calme et subtil presque secrète encore visiblement énorme que mon père et moi avons partagé . Je sais pertinemment que ce genre d’amour entre le père et la fille est rare . Il vient m’aimait beaucoup , et nous étions si si proche et nous avons partagé ce genre spécial de père fille liaison qui peut être vu , mais ne peut pas vraiment être expliqué . J’ai brillé avec tant d’éclat dans ses yeux et il dans la mienne . Donc ce qui me reçoit à travers elle consiste à me rappeler aussi souvent que je le peux , même si ça me brise le cœur, qu’il n’est plus là , que je suis tellement chanceuse je suis arrivé à l’avoir du tout , et pas seulement de manière périphérique, mais comme mon père . Je n’ai même pas vraiment de le partager , je suis arrivé à sa seule fille . Il était tant de choses , à tant de gens , mais avant tout , il était mon père , et l’homme était-il bien son travail ! 24 années je suis arrivé à l’avoir, c’est tellement plus que beaucoup de filles partent , et parfois ils cela et plus encore , mais c’est une relation pleine de conflits et de toutes sortes de questions . Il peut être une relation qui est lourde , mais il n’a jamais été pour moi . C’est probablement la relation la plus réussie que j’aurai jamais avec un homme jamais . Ce doit être la réponse la plus s’éternise à une question simple …
JF : La dernière fois que vous appuyez sur le radar du public aux questions rwandais était quand vous étiez échoués en Ouganda après que le président Kagame a annulé votre passeport . Comment avez-vous pu quitter le pays et combien de temps at-il fallu ?
PK : Il a fallu un peu moins de 3 mois. Beaucoup de politique politicienne quand il en bureaux de très haut . Je ne veux pas nommer les bonnes personnes qui m’ont aidé que je ne voudrais pas qu’ils soient en difficulté à cause de moi que la dernière étape de ma sortie a été enveloppé dans le plus grand secret . En fin de compte , il a été décidé qu’un passeport pour moi pourrait être publié et j’ai été en mesure de demander mon visa d’étude canadien et les congés .
Cependant, je n’ai aucun problème à dire que après avoir été détenu à l’aéroport pendant plus de 10 heures, j’ai été emmené à voir le chef de la police le major-général Kale Kayihura ( un ancien collègue et «ami» de mon père en fait) dans l’espoir que il pourrait être en mesure de vous aider. Je me suis assis en face de lui mon visage gonflé de tous les pleurs et quand j’ai demandé pourquoi ce qui se passait , il m’a regardé droit dans les yeux et dit: « On me dit que vous voyagez autour de faire le travail de votre père , et qui plus est , je suis également dit que vous abusez du président sur Facebook . ” a ce moment, il était tout ce que je pouvais faire pour ne pas rire , je lui demandai s’il était sincèrement de me dire que mon grand crime et la raison pour laquelle l’Ouganda ( dont ni moi ni mon père, nous avons des problèmes avec ) a été de confisquer mon passeport était parce que j’ai écrit un «statut de facebook ” sur Kagame ? Puis il m’a dit: « Vous savez ces choses, sont complexes et les circonstances sont difficiles ” Honnêtement, je ne sais même pas quoi penser après. Plus tard, un autre fonctionnaire du gouvernement qui m’a vraiment aidé m’a dit qu’il était désolé , que c’était toute la politique et que j’avais été «dommages collatéraux ». Je vous dis cela pour vous donner un peu de contexte sur ce que c’est que d’être sur le FPR la liste des résultats , aucun légère contre Kagame est trop petit pour passer inaperçu et tous les moyens sont disponibles pour blesser ses «ennemis» – la torture d’enfants innocents «ennemies» inclus – sera utilisé . ( Je veux juste ajouter un avertissement , je ne suis pas réellement comparer ce qui m’est arrivé à la torture physique réelle que beaucoup de gens vont à travers, c’est juste une chose d’imagerie )
JF : Il a été question de vous faire de la politique à suivre les traces de votre père . Est-ce exact et qu’espérez-vous accomplir dans l’arène politique ? Quel rôle voyez-vous vous jouer ?
PK : Je ne sais pas où tout cela vient de parler . Je suis 100 % pas un politicien aspirant à tous . Je suis un défenseur des droits humains aspirant , je suis heureux de pouvoir parler à un certain moment dans l’avenir à ce sujet , peut-être même spécifiquement sur les violations des droits de l’homme au Rwanda mais je n’aspire pas à être le futur ancien chef du renseignement extérieur .
JF : Il ya beaucoup de récits différents sur ce que votre père a fait et n’a pas fait quand il travaillait pour Kagame au Rwanda . Quelle est votre compréhension de son temps dans le FPR et at-il jamais en discuter ?
PK : Il n’a pas discuté de sa journée de travail à la journée avec nous , nous étions tous sous l’âge de 15 la première fois qu’il a été arrêté et il suffit de dire que nous savions presque rien sur ce qui se passe au sein du gouvernement . Après avoir obtenu de sortir de sa première détention , il a ouvert sur ses différences avec le régime , ou plus précisément Kagame . Ce que je sais, c’est qu’il a donné sa démission et demander de retourner à la vie civile en 2000 , juste après un peu moins de cinq ans de service parce qu’il était en désaccord avec la façon dont les choses se passent , ( je peux entrer dans le détail des questions spécifiques qu’il avait mais je je ne sais pas comment il est approprié pour moi de discuter de telles choses ) il vit refuser l’autorisation de démissionner d’abord sous le couvert du fait qu’il n’y avait pas des remplaçants adéquats et qu’il aurait besoin de passer quelque temps la formation une autre personne . Il a ensuite été effectivement relevé de son poste de chef de la sécurité externe en 2003 . Il a été envoyé pour étudier certaines classes militaires dans la province de Ruhengeri , qu’il a décrit une fois pour moi que de demander effectivement un étudiant de doctorat à fréquenter l’ école pour un cours de perfectionnement . Puis en 2004, il a été officiellement rétrogradé au porte-parole de l’armée jusqu’à sa détention éventuelle au début de 2005 . Je sais aussi qu’il a découvert qu’il serait détenu avant que ça arrive et il aurait pu fuir , mais il a choisi de ne pas . Il a dit qu’il n’a pas laissé parce qu’il ne voulait pas laisser de la place pour les accusations portées contre lui à être légitimés de toute façon , il voulait qu’ils soient vus pour les faux qu’ils étaient et sont encore , je suppose .
JF : Que faites-vous maintenant ? Etes-vous à l’université et si oui qu’est-ce que vous étudiez ? Travaillez-vous aussi et si oui que faites-vous ?
PK : Je viens de terminer ma maîtrise en droit et je prévois d’écrire à la barre de New York et de chercher un emploi . En attendant , j’ai un travail à temps partiel comme professeur d’anglais .
JF : Je sais que vous êtes l’un des trois frères et sœurs . Comment sont vos frères composer avec la perte de votre père ? Voyez-vous les uns les autres fois?
PK : Mes frères , à ma grande surprise ( plus complexe de supériorité de frères et sœurs) ont été étonnamment forte et de bon esprit , en dépit de tout cela. J’ose dire qu’ils ont grandi dans les jeunes hommes inspirants . Malheureusement , dans les circonstances que nous n’avions pas vu l’autre en 3 ans, jusqu’à l’enterrement . Espérons que les choses vont changer pour le mieux dans les années à venir et nous pouvons réunir plus souvent. Cependant , Skype a été un outil merveilleux pour nous aider à sentir encore proche alors elle sonne terrible de ne pas avoir vu l’autre depuis si longtemps , il a été seulement une distance physique, nous sommes constamment dans la vie des uns et des autres .
JF : Lors des funérailles de votre père , votre mère a eu des mots forts pour l’un des espions de Kagame qui pourraient être présents. Que dit-elle et comment est- elle face à cette perte ?
PK : Elle a dit , ” honte à vous , vous devriez avoir honte » parce qu’ils ont échoué dans leur tentative de briser notre esprit , et ils continueront à l’échec parce qu’ils commettent uniquement vers le mal . Ma mère , au moins pour moi , est miraculeuse , elle est juste inexplicablement forte, elle a vécu tellement de choses , mais sa foi porte son travers et tout cela n’a fait que la rendre plus déterminés à prospérer et continuer la lutte pour la liberté en mon père place.
JF : Quelle est votre conviction sur ce qui est arrivé à votre père cette nuit fatidique et il n’y a eu aucune nouvelle information dans l’enquête de l’Afrique du Sud ? Vous ont-ils gardé et votre famille mis à jour?
PK : Je n’ai pas de «croyance» en soi , je crois juste dans les faits objectifs , il a été attiré dans une chambre d’hôtel par quelqu’un qu’il croyait être un ami – Apollo Kirisisi – et là il été pris au piège et mis à par ce qui a été confirmé en tant que multiple et pas une seule personne , et ces personnes ont alors procédé à l’étrangler à mort .
JF : Beaucoup pensent que le Président Kagame est derrière l’ assassiner de votre père . Est-ce que votre croyance ainsi ?
PK : Ce n’est pas ma conviction , c’est quelque chose que je dois dire que je sais être profondément vrai . Je suis bien conscient que, pour ma sécurité et pour le bien de la rectitude politique , je devrais probablement être plus ambivalent à ce sujet et biaiser un peu mais ma conscience ne me permet pas de le faire . Avant Apollo , il y avait d’autres personnes qui ont été envoyés à faire de même et heureusement, ils ont fait défection et choisi de ne pas le faire . La vérité de la question est , en termes non équivoques , Paul Kagame , le président du Rwanda est la personne qui a cherché après , orchestrée (avec ses sbires ) et a ordonné l’ assassiner de mon père . En outre , le Président Kagame , dans les commentaires ultérieurs sur l’ assassiner de mon père , a tout mais a offert une reconnaissance tacite . Mon père n’est même pas le premier , il est juste la plus médiatisée à ce jour, mais il ya une série de meurtres politiques qui sont venus avant lui , si quelque chose comme ma mère aime à le dire , par la grâce de Dieu, il a été donné une certaine «prime ‘ années . Toutefois , il devrait faire la pilule difficile à avaler pour tout , je dirai que tous les propos est tout simplement mon «croyance» que je choisis de prendre comme un fait.
JF : Quel est l’héritage que votre père vous a laissé , et quel était son plus grand morceau de conseils pour vous et votre famille ?
PK : L’héritage qu’il nous a laissé , je voudrais dire, c’est un bon nom , un nom qui restera à jamais synonyme de courage ( n’est-il pas drôle que le nom sonne presque comme il a le mot courage en elle ) , l’intrépidité dans la face l’adversité , de générosité et un grand amour pour les gens , et en particulier la famille . Le plus grand conseil qu’il m’a jamais donné était d’ être un être humain utile, de ne jamais laisser quiconque de pouvoir sur ma personne et de faire toutes mes propres décisions .
JF : Comment voulez-vous le monde à retenir Patrick Karegeya ?
PK : Comme un homme bon , un homme aimable, un homme qui n’a jamais été intimidé par quelqu’un ou quelque chose et qui croyait férocement la liberté de chacun de vivre la vie qu’ils veulent vivre sans entrave ni ingérence de toute autre personne . Quelqu’un qui était généreux à l’excès . Il était le genre d’homme que si quelqu’un venait de lui voler qu’ils quitteraient avec son porte-monnaie et un ami .
fin