COEURS ENDORMIS AU RWANDA, REVEILLEZ-VOUS, LE MONDE DOIT LE SAVOIR.
Rendre les rwandais énnemis les uns des autres, celà est fait, celà se fait, se dit et se chante chaque jour sur les ondes de la radio Rwanda: »Chacun doit veiller à sa sécurité ». Ainsi les énnemis du Rwanda sont les rwandais eux même. Dire, écrire, graver, imprimer, griffonner; mais, le dire quand même: » Le Rwanda s’est suicidé »; heureusement le hasard a coupé la corde mais, le Rwanda reste malade des traumas, des séquelles, stigmates et infirmités qui semblent être incurables.
Les membres malades de ce corps soufflent differement selon qu’ils soient internes ou externes. Ceux atteints d’une forme bizarre de Lèpre se croient sains et infligent plutôt aux restants des souffrances innomables; eux qui ne ressentent aucune douleur quand leurs organes sont enkylosés, ils infligent aux autres le sort qui leur revenait: être dans l’isolement.
Métaphore qui symbolise une autre: Un peuple charrié par le torrent des bombes et la grêle des balles, s’accroche par hasard à une feuille d’une plante aquatique dans un fleuve d’Afrique. Il plane, il flote et dit: Je vous prie d’écouter et d’entendre mon cri d’appel au secour, moi, c’est nous, c’est toi, c’est vous, c’est lui, c’est eux. Nous avons fait connaissance d’un plan maccabre d’extermination, déjà commencé comme dit ailleur; ceci n’est qu’un rappel de ce qui se trame et se fait en RDCongo par des lépreux qui gouvernent le pays malade de l’autre côté du Lac Kivu. Ils s’acharnent contre les convalescents du suicide et certains les acclament.
C’est plutôt un devoir pour l’humanité d’entendre l’appel de ce peuple et de l’aider dans l’urgence à isoler les lépreux pour qu’ils reçoivent un traitement adéquat. Ce n’est plus une métaphore mais UNE REALITE. Nous espérons un printemp, un premier jour du mois de Mai à n’importe quelle date de n’importe quel mois; mais ce printemp nous l’attendons car, le pays des frères énnemis devient bientôt le paradis d’amour et de liberté pour tous.
Nous tenons tous à notre mère Patrie.
OUI, « on ne trouve les diamants que dans les ténèbres de la terre », mais on aura « gouté tout le mauvais du bon » (V.Hugo). En attendant nous sommes encore entre les deux. Le chant des oiseaux chaque matin, à l’instar en disant, »reveillez vous coeurs endormis, le Dieu d’amour vous sonne »; c’est là nôtre espérence dignifiée en Dieu, raison de nôtre percevérence endurence, abnégation, détermination, courage et sacrifice. Malheur à celui ou ceux qui prônent encore le Génocide sous n’importe quelle forme qu’elle soit. A bonne entendeur.
Par un Lecteur d’ikaze Iwacu